Malaunay, une ville en transition

[TERRAIN]

Vendredi dernier, le MS EEDD parcours IGE a été accueilli dans la Ville de Malaunay par Laurent Fussien , Directeur Général des Services.

Située en périphérie de la Ville de Rouen, les 6 000 habitants de Malaunay inventent ensemble depuis près de 20 ans de nouvelles manières de vivre et faire société : protection de la biodiversité, encouragement des liens sociaux, développement des énergies renouvelables engagées, mobilité douce et partagée,…

Co-élaborée avec les agents et élus municipaux, les associations et entreprises du territoire, cette politique de long terme, créatrice de valeur, a permis un développement des activités et de l’emploi sur le territoire et au-delà.

Un exposé dynamique et clair et une visite sous le soleil, particulièrement inspirants, ont démontré aux étudiants qu’il est possible de préparer la résilience d’une ville sur les plans alimentaires, sanitaires, climatiques… tout en mettant l’humain et le vivant au cœur du projet.

Un grand MERCI à Laurent Fussien pour la présentation de ces projets, avec leurs méthodologies, cadres réglementaires, leviers d’actions ainsi que pour le partage de ces nombreuses initiatives articulées en synergie.

Soutenances Projet Fil Rouge

[SOUTENANCES]

Clap de fin pour le projet fil rouge du Master EEDD parcours IGE dans le cadre du partenariat ISIGE Mines Paris-PSL x ecosystem, dédié à la durabilité des produits EEE.

Le 14 février, les étudiants ont présenté aux 6 producteurs d’équipements électriques et électroniques (EEE) mobilisés dans ce projet, leurs propositions pour améliorer l’impact environnemental de leurs produits, à partir des calculs d’ACV et des indices de recyclabilité, réparabilité, et en proposant des modèles d’affaires disruptifs.

Un grand BRAVO à toute la promotion pour leurs différents travaux et la qualité de leurs propositions, qui ont été très appréciées des six producteurs adhérents d’ecosystem : Acoem, Fareco l FAYAT ÉNERGIE SERVICES, L’Oréal, Groupe SEB et l’entreprise Boomerang, plateforme de réparation d’outils professionnels.

Un grand MERCI à Hélène Guilbault, Laurène Cuénot et Guillaume Audrain d’ecosytem ainsi qu’aux producteurs pour leur engagement tout au long de ce projet.

Water4Future

LE SAVIEZ-VOUS ?

Connaissez-vous le programme Water4Future ?

Nous sommes fiers d’avoir une équipe motivée d’étudiant.es et d’intervenantes de la Promo 17 du MS EEDD parcours RSEDD qui participera jeudi 20 et vendredi 21 février à la 7ème édition du Hackathon Water4Future (W4F) organisé par le Centre International UNESCO sur l’Eau de Montpellier – ICIREWARD en partenariat avec l’Université de Montpellier.

Lors de cette compétition internationale, en équipe de 5 à 7, ils auront 48h pour mettre en place un projet innovant, technique et social en réponse au thème lié aux enjeux de l’eau.

L’objectif est de créer un projet d’équipe, favoriser l’esprit d’entreprise, imaginer de nouveaux outils, technologies ou services innovants pour préserver notre environnement et améliorer le quotidien de chacun.

Un grand BRAVO à Jasha Oosterbaan, Pascale Dromigny, Florence Roger, Audrey Gaillard, Aurore Halpern, Hélène Bouvier-Liminana, Nathalie Ferrant et Nicolas Meunier pour leur engagement.

 

Certificat Économie Circulaire

Fruit d’un partenariat entre l’ISIGE Mines Paris-PSL, l’université Université Paris Dauphine- PSL et ecosystem, le Certificat Économie Circulaire propose 9 jours de formation dédiée aux professionnels pour transformez leur organisation par des approches et outils innovants.

La formation permet de développer la compréhension des fondamentaux de l’économie circulaire, les freins et les leviers inhérents à sa mise en œuvre et de découvrir les outils, méthodes et approches concrètes pour engager cette démarche transformative.

Pour opérer une transformation durable des organisations (entreprises, collectivités, associations…), l’économie circulaire mise sur des stratégies visant à boucler les flux de matières et d’énergie. Cette approche contribue à limiter les impacts environnementaux, notamment l’épuisement des ressources, la production de déchets et les émissions de gaz à effet de serre. Elle favorise également l’émergence de nouveaux modèles économiques axés sur le recyclage, le réemploi, la réparation et les services générateurs d’emplois.

Pour exploiter pleinement ces opportunités, l’intégration de l’économie circulaire au sein des entreprises requiert une transformation en profondeur des organisations et de leurs pratiques. Elle implique aussi l’émergence de nouveaux métiers et le développement de compétences adaptées à ces évolutions.

Le certificat Économie Circulaire a pour objectif d’approfondir la compréhension des principes fondamentaux de l’économie circulaire, d’identifier les obstacles et leviers liés à sa mise en œuvre, et d’apporter aux participants des outils, méthodes et approches concrètes pour initier cette transformation.

Ce programme vise à permettre aux participants de :

  • Assimiler les concepts clés de l’économie circulaire et leur potentiel transformateur,
  • Concevoir et développer de nouveaux modèles économiques intégrant les principes de circularité,
  • Mobiliser leurs parties prenantes pour engager efficacement une démarche de transition au sein de leur organisation.


Pour en savoir plus : https://lnkd.in/gZ3JwiAP

Le Village Low-Tech

Êtes-vous prêts pour 2040 ? Dans un monde aux ressources limitées, choisiriez-vous la coopération ou la compétition ?

Lundi dernier, les étudiants du MS EEDD Parcours IGE de ISIGE Mines Paris-PSL et ceux de l’option Ressources Minérales pour les Transitions du cycle ingénieur civil de Mines Paris – PSL ont participé à un atelier immersif : « Le Village Low-Tech » qui permet de découvrir la démarche low-tech, ses principes et ses solutions, afin d’imaginer un avenir durable.


Les low-tech ou « technologies sobres », qu’est-ce que c’est ?


Ce sont des solutions techniques simples, accessibles, durables et réparables à faible impact. Elles sont conçues pour répondre à des besoins essentiels tout en minimisant leur impact écologique. Contrairement aux technologies de pointe (High-Tech), elles s’appuient sur :

– des matériaux locaux
– une faible consommation d’énergie
– une maintenance aisée

Projection en 2040 : le concept du Village Low-Tech
Dans ce jeu de gestion et de négociation, les étudiants se sont projetés en 2040, au sein d’un village où les ressources sont précieuses.

Leur mission ? Coopérer avec leurs voisins, échanger des ressources, et construire des solutions techniques sobres pour répondre aux besoins essentiels en eau potable, énergie et nourriture.
Un défi qui pousse à réfléchir à l’impact de ses choix sur l’environnement et la société.

Comment fonctionne un atelier Village Low-Tech ?
Le Village Low-Tech est une expérience ludique et collaborative, qui permet de découvrir 15 technologies sobres, et de simuler la gestion de ressources. L’atelier se conclut par un débat sur l’usage des ressources et l’impact des innovations technologiques.

À propos
Le Village Low-Tech est un jeu développé sous la licence Creative Commons BY-NC-ND créé en 2024 par Benjamin Dufossé, historien des innovations et enseignant en école d’ingénieurs à Lille.
Pour en savoir plus : https://villagelowtech.fr/

Atelier de mesure de la réparabilité et de la recyclabilité, FabLab x ecosytem

Retour sur… l’atelier de mesure de la réparabilité et de la recyclabilité, au FabLab de Mines Paris – PSL, en partenariat avec ecosystem. Les étudiants du MS EEDD parcours IGE ont mis la main à la pâte jeudi dernier, en calculant concrètement des indices de réparabilité et recyclabilité.

Pendant toute une journée, ils ont démonté des équipements électriques et électroniques (EEE), étudié leurs matériaux, leurs composants et leurs liaisons, calculé les indices de réparabilité et de recyclabilité, et identifié des pistes d’amélioration de ces indices.
Cet atelier s’inscrit dans un projet pédagogique de plusieurs semaines, dans le cadre du partenariat entre l’ISIGE Mines Paris-PSL et ecosystem.

– Il s’agit pour les étudiants de proposer à des producteurs de EEE, tous adhérents et mobilisés par ecosytem, des pistes réalistes et précises d’amélioration de l’empreinte environnementale de leurs équipements (sèche-cheveux, feu de signalisation, tondeuse à barbe…), en utilisant pour cela les outils et principes de l’économie circulaire (ACV, réparabilité, recyclabilité, économie de fonctionnalité, …).

– Ces pistes d’écoconception, élaborées en étroite interaction avec les producteurs, seront ainsi chiffrées et sourcées. Elles pourront aller des sources d’approvisionnement aux modèle d’affaires, en passant par les chaînes de fabrication de ces produits.

Ce projet a été conçu par l’ISIGE et ecosystem afin de permettre aux professionnels de demain d’améliorer l’éco-conception et la durabilité de leurs produits, sujet central de l’économie circulaire, notamment pour la filière REP des EEE.

Lors de cet atelier, Laurène Cuénot et Hélène Guilbault d’ecosystem, ainsi que Naimeric Villafruela, responsable du FabLab de Mines Paris, ont accompagné les étudiants dans le démontage, les mesures et les pistes d’écoconception.

Un grand MERCI aux intervenants pour la co-conception de ce projet et la mobilisation des producteurs : Acoem, FARECO – Fayat Énergie Services, L’Oréal, Groupe SEB et l’entreprise Boomerang, plateforme de réparation d’outils professionnels.

Le saviez-vous ?
Au-delà de l’intégration de matières recyclées et plus largement de la diminution de l’empreinte environnementale, l’éco-conception permet également de faciliter la tâche aux acteurs de la réparation, du réemploi et du recyclage qui peuvent rencontrer des difficultés de démontage, d’accès à certaines pièces ou de séparation des matières.

Bravo à nos étudiants de s’être confrontés, outils en main aux équipements EEE, pour mieux s’approprier méthodes et outils, interroger leurs forces et leurs limites et émettre des recommandations pertinentes au niveau des objets et des outils d’évaluation.

Visite de l’usine PAPREC GROUP

Visite de l’usine PAPREC GROUP de traitement des petits appareils ménagers de Pont-Sainte-Maxence. Ordinateurs, cafetières, grille-pain, lave-linge…  Comment sont traités les déchets électriques et électroniques des franciliens ?  Quelles techniques pour recycler et valoriser les nombreuses matières plastiques et métalliques qui constituent ces objets de notre quotidien ?

Dans le cadre du projet écoconception et économie circulaire mené en partenariat entre l’ISIGE Mines Paris-PSL x ecosystem, nous nous sommes rendus à Pont-Sainte-Maxence, dans l’Oise, où 100 tonnes de déchets électriques et électroniques convergent chaque jour depuis les régions environnantes pour être traités, triés et recyclés.

Olivier Roche, responsable du site, nous a chaleureusement accueilli et a permis aux étudiants du MS EEDD parcours IGE de découvrir les nombreuses facettes du traitement de ces déchets complexes.  Métaux ferreux, aluminium, cartes électroniques, moteurs, plastiques… accroitre le recyclage de ces éléments est un pilier de la transition vers une économie circulaire.

Comprendre comment ces matières sont récupérées est décisif pour concevoir en amont des objets plus recyclables. Pour découvrir ces incroyables chaînes de tri, cliquez ici : https://lnkd.in/efvAtzAK

Le saviez-vous ?
PAPREC, créé en 1994, est devenu en 30 ans le leader du recyclage en France, avec plus de 350 sites sur le territoire.
Pour en savoir plus sur le groupe : https://www.paprec.com/fr/

Un grand MERCI à Olivier Roche et aux équipes de Paprec pour leur accueil ainsi qu’à notre partenaire ecosytem.

VISITE DU MUSÉE DE MINÉRALOGIE DE MINES PARIS-PSL

Quels enjeux environnementaux pour l’industrie minière ? Quelles disponibilités pour la transition énergétique ?

Dans le cadre du module dédié aux enjeux des ressources minérales, les étudiants du MS EEDD parcours IGE ont eu la chance, en complément des cours de Damien Goetz et Olivier Dubourdieu, de visiter le Musée de Minéralogie Mines Paris – PSL.

En explorant les collections de minéraux, roches, météorites et gemmes, ils ont ainsi pu découvrir l’histoire, ainsi que l’utilité scientifique et technologique de ces collections. Au-delà de la beauté du lieu et des pierres, cette visite a permis aux étudiants d’identifier concrètement les différents minéraux de la transition énergétique comme le cobalt, le cuivre, le nickel,… Une visite à la fois éducative et précieuse pour prendre conscience de l’aspect matériel de la transition écologique.

Le saviez-vous ?
Les collections du Musée, parmi les plus riches au monde, comptent aujourd’hui près de 100 000 échantillons, dont 4 000 exposés en vitrine, représentant environ 2 900 espèces minérales.

Un grand merci au Musée d’avoir ouvert ses portes aux étudiants du MS et particulièrement à Dylan Seguenot-Grapin pour ses explications documentées et vivantes.

The Post-Master EnvIM students defended their thesis

The thesis topics illustrate the wide range of issues, challenges, and possible levers for implementing an environmentally responsible strategy for enterprises in various sectors.

The oral presentations enabled us to delve deeper into topical issues relating to environmental questions, and to measure the quality of the work carried out by MS students on these subjects.

To what extent can project managers respond to the current challenges of the circular economy and what strategies and tools should they adopt to anticipate future regulatory requirements and align their projects with the ambitions of the extended circular economy on the territorial scale ?

– Pathway to Net Zero for Insurance Companies : a Study on Insurance-Associated Emissions of Home Insurance in France. Crédit Agricole Assurances

– Highways of progress and paths of conflict : between development, controversy and unequal environmental and social impacts. Setec international

– What business model would make investing in rooftop PV and battery storage profitable for residential clients ? EDF US Innovation Lab

– Adopting SAI framework to enhance sustainability outcomes for water and biodiversity within the private sector. Danone

– Raw material assessment of Rexel France : quantification, risks and opportunities with wood and copper. Rexel

– The voluntary sector and the challenge of hashtagdecarbonization. Urbanomy

– Deploying Industrial and Commercial Packaging Reuse. RE(SET)

– Recycling of soft PVC- based products : stakes, technologies and applications, Decathlon France Water Sport Center

– Sustainable Architecture in the Luxury Industry : Integrating Sustainability, Supplier Partnerships, and Consumer Behavior for Long-Term Growth, LVMH Céline

– Remote Sensing and GIS-Based Characterization of Hydrocarbon and Hazardous Gas Emissions in the Marcellus Shale : Insights for Mitigation and Prevention. FracTracker Alliance

– How can financial actors effectively build pragmatic and ambitious biodiversity strategies ? BL évolution

– How is sustainability integrated into the innovation process within the private sector for consumer goods ? Quantis

– Prospective Study on the Decarbonisation of the French Primary Steel Industry. Réseau Action Climat

– Key Factors Influencing the Success of Waste Management in the Middle East : Regulatory, Cultural, and Environmental Perspectives with Lessons from Global Practices. SUEZ SA

CONGRATULATIONS to Alexandre SCHAMBERGER Zhao Liu Eva Tavares Lucie Lambreth Cordélia Pelletier de Chambure Aurélie Brunstein Elie Matar Mateo Delaveau Victoire Dumont Martin Bernard Xingci (Chichi) Chen Dylan Gordon Nour El Korek Tanguy Larcher Haocheng Yang Clémentine Pelissier

See you for the graduation ceremony !

 

Bienvenue Astrid !

Quels sont les liens entre biodiversité et entreprises ? Comment les entreprises gèrent-elles leurs dépendances et leurs impacts vis-à-vis de la biodiversité, en particulier dans le contexte du changement climatique que nous connaissons actuellement ?

C’est sur ces questions que s’inscrit la thèse “Protection de la biodiversité en entreprise et dans les institutions financières : instrumentation, pratiques, limites et perspectives” que mène Astrid Le Chippey (ancienne élève du MS IGE) depuis novembre 2024,

Cette thèse est soutenue financièrement par The Transition Institute 1.5 de Mines Paris PSL et elle s’inscrit dans une co-direction associant Franck Aggeri du Centre de Gestion Scientifique (CSG) de Mines Paris PSL (centre de rattachement académique), Rémi Beulque de Toulouse Business School (TBS) et Emmanuel Garbolino de l’ISIGE.

Cette thèse possède un caractère interdisciplinaire fort dans la mesure où elle vise à articuler les sciences de gestion, la finance responsable, l’ingénierie écologique et la modélisation prospective en écologie et environnement.

1. D’où viens-tu Astrid ?

De Paris, où j’ai grandi. Et de Lyon, où j’ai étudié en école de commerce, à l’EM Lyon. J’ai travaillé en région parisienne pendant 12 ans. Et, tout dernièrement, au sein d’un grand groupe où j’occupais des fonctions liées aux approvisionnements responsables. Voulant monter en compétences théoriques en matière d’environnement et de développement durable, j’ai intégré le Mastère spécialisé IGE EEDD en 2023. Cette année de formation m’a, notamment, permis d’affirmer mon souhait de me consacrer aux enjeux liés au Vivant et à la biodiversité. Et de m’orienter vers la recherche pour contribuer à « faire le pont » entre le milieu académique et les entreprises.

2. Quand as-tu eu “le déclic” pour agir pour la transition écologique ?

Il y en a eu plusieurs. Enfant, d’abord, face au contraste entre mes vacances dans la vallée de la Maurienne, lieu de resourcement au plus près de la nature, et mon quotidien sur le macadam parisien. Plus tard, lors d’un semestre d’échange en Chine pour mes études. J’ai alors été, notamment, frappée par les problématiques d’accès à l’eau potable et les déversements de déchets dans les lacs et les rivières. Enfin, c’est sans aucun doute la conférence de Gilles Bœuf « Changement climatique, biodiversité, humanité : quelles menaces ?  Comment agir ? » qui m’a encouragée à davantage passer à l’action en me formant grâce au Mastère IGE. Cette conférence était proposée aux « ambassadeurs RSE » de l’entreprise pour laquelle je travaillais.

3. Une personnalité / des travaux qui t’inspire(nt) ?

Il y en a beaucoup 🙂 Je suis en train de lire Avant que Nature meure de Jean Dorst. Paru en 1965 c’est un ouvrage incroyablement visionnaire sur l’érosion de la biodiversité et la menace que les activités humaines font peser sur celle-ci. Et, dans un tout autre registre, j’aime aussi particulièrement les livres de science-fiction d’Alain Damasio qui invitent à prendre du recul sur notre époque et à s’interroger sur nos aspirations pour le futur.

4. Au quotidien, quels types de mesures mets-tu en place pour protéger la planète ?

Ce sont des petits pas, à mon échelle : je privilégie les transports en commun, je fais dans la mesure du possible mes courses au marché, je limite ma consommation de viande, je trie mes déchets, je veille à ma consommation d’eau.

5. Une chose qui te faisait avancer étudiante et qui continue de t’animer aujourd’hui ?

Par mes études, mes engagements professionnels et associatifs, j’essaye de contribuer, à ma mesure, à la construction d’un avenir durable et joyeux pour nos enfants 🙂 La route est encore longue… ! Pour cela, j’aime apprendre et travailler avec des personnes de disciplines et d’horizons divers.