EnvIM Urban Workshop in Turin

How to imagine a sustainable urban future for a fairly deprived area ? What are the social, spatial and environmental implications of a new ecology-oriented strategy for the transformations of a specific district ? How a car-oriented city can become the hub of a new ecological modern paradigm ?

These were the main questions the ENVIM students had to deal with during their urban workshop in Turin.

During one week, they explored the district of Aurora, a former industrial area closed to the city center, which has undergone major urban crises over the last 40 years.

With the support of researchers from the Politecnico di Torino – Aurora Lab, Politecnico di Milano, ISIGE Mines Paris-PSL and the kind contribution of the Circoscrizione 7 that hosted them, the students were asked to work for the 2030-2050 urban agenda of the district.

3 groups were tackling various facets of the ecological transformation of the district :

☑ inclusive urbanism
☑ healthy urbanism
☑ net-zero urbanism

Within a week, and in a charrette-mode of functioning, they all developed an empirical, evidence-based and thematised diagnosis of the district, before suggesting a new strategic concept and a plan of actions that should sustain this strategy.

Last Friday, they presented their work and suggestions in front of the City of Turin, a local NGO : Fondazione Communità di Porta Palazzo and other urban researchers working on the district, sparking intense and promising discussions.

Methanization to recover local organic waste

The example of Equimeth in COMMUNE DE MORET-LOING-ET-ORVANNE

Agriculture, wood supply chain, food production system… generate various organic wastes and they can be integrated into local bioenergy production.

One of the technologies for waste recycling is the development of methanizer.

Methanization to recover local organic waste
Methanization to recover local organic waste

 

– The students of EnvIM advanced master (module AgroEcology) had the opportunity to visit the Equimeth methanization plant located in Moret-Loing-et-Orvanne.

Methanization to recover local organic waste


This unit is involved in the recycling of 25.000 tonnes of organic waste per year by producing solid and liquid biological fertilizers. Waste (mainly unused crops, vegetation and food products) is sourced from local producers at about 20km away.

Many thanks to the Equimeth team : it was a very interesting visit which helped our students to understand the role of such facility in the local bioeconomy.

Soirée “Coups de cœur RSE Mines / Cegos”

[RÉCOMPENSES]

Chaque année, ISIGE Mines Paris-PSL et la Cegos France récompensent des entreprises remarquables et remarquées pour leur engagement et leurs pratiques vertueuses sur les questions sociales et environnementales.

Lundi dernier, Sophie SERIZIER, Anne-Laure Declaye et Philippe Chausson ont eu le plaisir d’organiser et remettre les “Coups de cœur RSE Mines / Cegos”.

Un grand BRAVO aux lauréats pour leur engagement !

– Emery Jacquillat, président de la Camif et co-fondateur des Communauté des Entreprises à Mission pour le coup de cœur TRANSFORMATION de l’organisation

– Olivier Guilbaud, président de Laboratoire Science et Nature pour le coup de cœur IMPACT

– Meleyne RABOT, directrice générale de Too Good To Go France pour le coup de cœur PRATIQUES REMARQUABLES

Un grand merci aux organisateurs pour cette magnifique soirée.

Rentrée pour la Promo 17 du MS EEDD parcours RSEDD

C’est la rentrée pour la Promo 17 du MS EEDD parcours RSEDD.


Pendant dix-huit mois nos étudiants du Mastère exécutive vont alterner entre enseignements et réalisation d’une mission professionnelle dans leur entreprise (ou une entreprise partenaire) permettant d’avancer sur la prise en compte des enjeux de transition et de RSE.

Dans l’optique d’approfondir, transposer les concepts enseignés et engager résolument l’entreprise dans sa démarche RSE et sa transformation.

Le saviez-vous ?

Conçu pour permettre aux cadres en poste souhaitant structurer et élargir leurs compétences en matière de RSE et de développement durable et accompagner le monde économique dans sa transition écologique et responsable, le Mastère Spécialisé® Management Global de la RSE DD s’adresse :

☑ à la fois aux profils industriels et professionnels du conseil ou encore du monde public.

☑ aux managers ayant une solide expertise professionnelle (achats, RH, R&D, HSE, innovation…) et souhaitant élargir leur domaine d’action à la RSE et transition écologique et solidaire.

Bref, à toute personne faisant le choix d’intégrer la transition écologique et la RSE dans ses missions.

La finalité du MS EEDD parcours RSEDD est de :

☑ dynamiser la carrière des étudiants avec un diplôme de haut niveau accrédité par la Conférence des grandes écoles (CGE).

☑ devenir un acteur clé de la RSE et de la transition au sein de son entreprise et intégrer le réseau des anciens, à la fois de l’ISIGE Mines Paris-PSL et de Mines Paris – PSL.

Toute l’équipe de l’ISIGE Mines Paris-PSL souhaite la bienvenue aux étudiants de la Promo 17.

Interview croisée mère / fille, alumni du MS EEDD parcours IGE

Élisabeth Lefranc, est la première étudiante à avoir été inscrite à l’ISIGE Mines Paris-PSL. Plus de 30 ans plus tard, sa fille, Madeleine marche sur ses pas, et vient d’être, à son tour, diplômée.

En 1992, naissait l’ISIGE – l’Institut de Mines Paris dédié à l’Environnement et à la transition écologique – proposant le tout premier Mastère Spécialisé en Environnement en France en collaboration avec AgroParisTech et l’École des Ponts ParisTech. Pionnière dans le domaine de la formation sur les thématiques liées à l’environnement et à la transition écologique, l’offre de formation de l’ISIGE s’est depuis élargie, adaptée et a gagné en notoriété.

1. Pourquoi avoir choisi de suivre la formation proposée par l’ISIGE ? Qu’attendiez-vous du MS EEDD parcours IGE à l’époque ?

Élisabeth :  Après deux entretiens avec Philippe Jamet et Pierre-Noël Giraud en novembre 1991, j’ai appris en décembre que j’étais admise pour cette première année du mastère IGE. J’ai choisi cette formation par idéalisme, pour son positionnement très novateur, parce que j’aime être à la naissance des sujets et parce que cela répondait à un impératif élevé de sens. Je souhaitais me qualifier pour influer sur des changements de pratiques industrielles à l’intérieur de l’entreprise. Séduite par la multidisciplinarité proposée à tous les niveaux, j’attendais du programme d’enseignement modulaire une ouverture sur les sujets environnementaux, dans un spectre large.

2. Qu’est-ce que cette formation vous a apporté ? Quelles portes vous a ouvertes le MS EEDD parcours IGE ?

Élisabeth :  J’ai découvert le monde incroyable de la géologie et de l’hydrogéologie, le temps long, les cascades et les lacs souterrains ! Plus sérieusement, c’est l’année d’étude que j’ai préférée, j’allais en cours le matin pleine d’allant : très stimulée par l’approche pluridisciplinaire, le croisement des regards, les voyages sur le terrain. La recherche d’un partenaire pour le MS m’a permis de trouver mon premier employeur, société d’ingénieur conseil en environnement, Dames & More, devenu URS  (aujourd’hui intégrée à AECOM).

Passionnée par la diversité des sujets et thématiques, j’ai sillonné la France pour réaliser des audits environnementaux d’usines – raffineries, industries pharmaceutiques, aéronautique, sous-traitants de l’automobile ou recycleurs de batterie pour en citer certains. Ma plus grande joie à l’époque, était de faire découvrir son site à un directeur d’usine sous le prisme des enjeux environnementaux. Dans les années 1990, il y avait de quoi découvrir. Et aussi, faire prendre conscience à toutes les parties prenantes des enjeux de la pollution des sols et eaux souterraines sur la valeur d’un business et de sa conformité aux réglementations naissantes. Puis, je suis rentrée dans l’industrie aux affaires réglementaires, convaincue que les lois, notamment européennes, sont des formidables leviers d’action.

Travailler sur le règlement européen REACH, instruire la connaissance sur l’éco-toxicité des substances chimiques, contribue à mettre de la conscience sur l’effet d’un produit fini, une fois qu’il est dispersé dans l’environnement, cela a permis de donner du sens à mes journées professionnelles. Aujourd’hui, je travaille sur les sujets traitant à l’accès à la biodiversité et au partage équitable des bénéfices liés à l’utilisation durable de celle-ci.

J’ai le plus souvent été sur des créations de poste, dans le conseil comme en entreprise; je pense que cela correspond bien au tempérament des anciens qui se positionnent souvent à la croisée de ce qui existe, de ce qui est en devenir et de ce qui sera construit demain.

J’ai personnellement trouvé du sens à me positionner dans le monde de l’entreprise, au début dans le conseil pendant neuf ans, puis dans l’industrie, dans l’idée de changer les choses en profondeur, à l’aide des réglementations et avec une cinétique qui s’inscrit dans le temps.

Autre apport, la lecture de La quatrième feuille, ouvrage de Philippe Jamet, que je vous recommande !

3. Combien étiez-vous d’étudiants, et d’où veniez-vous ?

Élisabeth :  En 1992/93, nous étions 25 étudiants, basés à Fontainebleau, multi-horizons : scientifiques (agronomes, chimistes, ingénieurs généralistes, géologues), 4 ou 5 juristes ou Sciences Po, certains fraîchement diplômés, dont je faisais partie, d’autres interrompant leur parcours professionnel. Nous étions une promotion passionnée, idéaliste, qui ne savait pas précisément vers quels emplois elle allait. Notre dénominateur commun : l’enthousiasme pour contribuer à un environnement meilleur, avec la joie de défricher. Nous formions une promotion soudée par le sens trouvé par chacun dans cette année d’études.

4. Aujourd’hui, 30 ans plus tard, votre fille Madeleine marche sur vos pas et vient de soutenir sa thèse professionnelle. Quelles évolutions de la formation percevez-vous ?

Élisabeth : Trente ans plus tard, tout a changé : l’époque, les entreprises, les réglementations, la demande de la société. La formation a aussi changé, elle s’est indéniablement professionnalisée et elle s’est déployée, avec la proposition d’autres mastères complémentaires, l’ancrage international. Les sujets ont évolué, mais je perçois surtout un fil rouge continu sur l’approche pluridisciplinaire, la richesse du croisement des regards, le besoin de sens nourri par cette année d’études riche qui ouvre le regard et agrandit la perspective. C’est une année dont chacun ressort, me semble-t-il, différent, replacé et énergisé.

5. Avez-vous la même vision du monde ? Quelles différences faites-vous entre votre génération et celle de votre fille ?

Élisabeth :  J’ai une vision du monde idéaliste, je suis mère de quatre enfants, et je suis convaincue que chacun peut influencer à son échelle. Dans ma génération, j’étais un ovni. Mon père était étonné de l’existence même de mon premier employeur.

A l’époque, le monde ne s’intéressait pas à la qualité des eaux, aux déchets, les réglementations étaient très limitées ou naissantes.

Il y avait aussi une croyance générationnelle que l’accès à « l’environnement » était à portée de main, gratuit, sans impact.

Je crois beaucoup à la puissance de l’éducation pour aider aux prises de conscience, je l’ai vu dans les discours et actions des écoles de mes enfants. Une différence majeure entre ma génération et celle de mes enfants est clairement la prise de conscience des impacts. Cela conduit certains au pessimisme, mais je ne suis pas de ceux-là, car j’ai vu de réels changements dans l’industrie depuis 30 ans. Je constate que l’orientation du projecteur a pris trop de temps, mais je crois profondément à la créativité de l’intelligence humaine, lorsqu’elle est orientée vers le bon objectif.

Madeleine : J’ai sûrement été marquée par la vision de ma mère, même si je ne pense pas avoir non plus une approche idéaliste. Je lui dois certainement une sensibilisation précoce aux enjeux environnementaux. Je pense avoir une vision du monde pragmatique : nous avons une grande partie des solutions, il reste maintenant à les appliquer ! Je pense que si l’éducation est clé, mais ce sont tous les imaginaires autour de nos modes de vie qu’il faut réinventer, pour aller vers une sobriété heureuse, et c’est là le plus gros défi auquel nous faisons face.

6. Comment produire sans détruire ? Quelles solutions émergeaient à l’époque ? Quelles sont-elles aujourd’hui ?

Élisabeth :  En augmentant la connaissance, en étant courageux, et en prenant des décisions agiles.

Il y a des actions simples et des actions d’envergure. Je vous rapporte une anecdote : un directeur d’usine dans les années 1996 avait ‘subi’ d’un potentiel acheteur un audit environnemental dans un premier poste. A l’occasion d’un changement d’usine, il avait alors choisi de réaliser un audit à sa prise de poste pour un état des lieux et de bâtir un plan d’action. A sa propre initiative, sans directive de sa maison mère, c’était à l’époque très novateur. Dans le secteur du traitement des métaux pour l’aéronautique, il y avait notamment alors des marges de progrès très importantes sur les recyclages et traitement des eaux usées.

REACH est un très bon exemple d’action d’envergure. Ce règlement européen a obligé toute l’industrie européenne (et par capillarité au-delà de l’Europe) à instruire la connaissance de l’écotoxicité des substances chimiques. C’était, avant ce règlement européen, un domaine totalement méconnu. En dix ans, ce champ inexploré a été instruit de façon à éclairer les décisions, tant industrielles que des autorités, dans l’utilisation à long terme des substances, dont certaines sont maintenant interdites ou ciblées uniquement sur des utilisations très spécifiques.

Madeleine : Il faut sûrement produire moins et mieux. Nous avons un appétit insatiable pour la nouveauté, et le secteur numérique en est un bon exemple.

Sans que cela soit vu comme un retour en arrière, nous devons arriver collectivement à faire le tri entre le superflu et l’essentiel, inventer des modes de vie compatibles avec le respect des limites planétaires.

Les différents scénarios prospectifs que nous avons étudiés dans le cadre du mastère, comme ceux de RTE et de l’ADEME, sont de très bons outils de réflexion sur ce sujet. Les modèles de société à mettre en place et les solutions qui en découlent impliquent des actions à tous les niveaux, individuel, collectif, de la part des entreprises, de l’État, et des individus.

Pour les actions d’envergure, cela ne peut se faire sans le politique. Les États, et notamment, l’Union européenne ont des leviers très puissants qu’ils doivent actionner, mais cela demande de prendre des décisions courageuses et parfois impopulaires aujourd’hui, pour mieux préserver la capacité des générations futures à habiter sur Terre.

7. A votre avis, quels défis devra-t-on relever dans 30 ans ?

Madeleine : Un sujet crucial et qui va le devenir de plus en plus au fur et à mesure que la planète se réchauffe, c’est celui de l’adaptation. Certains changements sont inéluctables, notre environnement naturel va se transformer et nous devons nous y préparer dès aujourd’hui pour que les changements auxquels nous allons être confrontés soient moins brutaux.

Nos parents et nous-même avons grandi dans un monde aux conditions climatiques et économiques stables et prévisibles. Mes enfants, si j’en ai, grandiront dans un monde différent, et nous sommes tous collectivement responsables, toutes les générations et pas seulement la mienne, parfois affublée du terme de “génération climat”, de construire le monde dans lequel ils vivront. Je ne crois pas au clivage des générations, je suis convaincue que les changements et les défis seront mieux appréhendés collectivement. Impliquer toutes les générations dans la transition est une condition indispensable à sa réussite.

Atelier 2tonnes

Les étudiants du MS EEDD parcours IGE ont participé à un atelier 2tonnes sur le campus de Fontainebleau de Mines Paris.
Dans un premier temps, cet atelier a permis aux étudiants de :mettre en application les savoirs et concepts acquis tout au long de leur cursus, dont l’approche systémique des enjeux environnementaux et de mieux comprendre le rôle des différents acteurs dans la transition bas-carbone.

En explorant le futur, ils ont construit progressivement leur scénario de transition bas-carbone jusqu’en 2050 et découvert ce qu’implique d’atteindre la neutralité carbone.

En effet, via une expérience immersive reposant sur des données scientifiques issues de l’ADEME, du GIEC, de l’Insee, de l’association négaWatt, de la Banque Mondiale…, l’atelier 2tonnes vise à  responsabiliser les participants, sans les culpabiliser, leur faire prendre conscience de leur pouvoir d’action et enfin, leur donner envie d’agir.

En 3h et en équipe, les étudiants ont réfléchi aux coûts des actions et pris des décisions permettant de diminuer les émissions de gaz à effet de serre avec un objectif : respecter l’Accord de Paris sur le climat, c’est-à-dire maintenir le réchauffement en dessous de +2°C et si possible de +1.5°C, par rapport à l’ère pré-industrielle. Et pour cela, passer à 2 tonnes équivalent CO2 par an et par habitant d’ici 2050.

Pour conclure, cet atelier a permis à nos étudiants se sont projetés jusqu’en 2050, en découvrant les leviers individuels et collectifs de la transition écologique, et en identifiant le rôle déterminant qu’ils pouvaient y jouer.

Et vous, quel rôle allez-vous jouer dans la transition écologique ? Quel futur allez-vous contribuer à créer ? Par où allez-vous commencer ? Quelles actions, individuelles et collectives, prioriser pour optimiser son impact ?

Un grand merci à Lou Verschave et Philippe ROBERT 🌍

Soutenances Controverses

Les étudiants du MS EEDD parcours IGE présenteront leurs travaux d’analyses de controverses environnementales ce vendredi prochain 22 mars à Paris, en amphi L106,  à partir de 9h15. Ces travaux de sociologie ont été menés depuis octobre avec l’appui des chercheurs du CSI. Les 9 controverses sélectionnées ont chacune fait l’objet d’une enquête de terrain approfondie en novembre.

Vous trouverez ici une rapide description de ces controverses, avec le planning de la journée.

Vous êtes très cordialement invité.e si vous le pouvez, à assister à ces soutenances, qui feront l’objet de petites mises en scène.

Ciné-débat

Dans le cadre de son module «Changer d’échelle», les étudiants du Mastère Spécialisé EEDD parcours IGE vous proposent d’assister à la projection du film Low-Tech, réalisé par Adrien Bellay en 2023.

La projection sera suivie d’un débat avec Florence Drouet, ingénieure et #chercheuse au Campus de la Transition, protagoniste du film, et Morgan Meyer, directeur de recherche au CNRS – Centre national de la recherche scientifique et chercheur au Centre de Sociologie de l’Innovation de Mines Paris.

Synopsis
A l’heure où nos sociétés basculent dans un désordre inédit et misent en grande partie sur la technologique, certains choisissent de s’investir dans une dynamique de sobriété : la lowtech.

Cette démarche écologique consiste à concevoir ou à diffuser des techniques et des savoir-faire utiles, durables et accessibles à tous. Le film part à la rencontre de ces citoyens qui se battent pour démocratiser une telle approche.

Jeunes ingénieurs, agriculteurs ou entrepreneurs, ces pionniers réparent leurs machines du quotidien, s’alimentent en énergie ou fabriquent leurs propres moyens de production…. et nous donnent peut-être un aperçu de ce que pourrait être le monde d’après.

Rendez-vous pour le ciné-débat le mardi 19 mars à 18h30 à l’École de Mines Paris – Amphi L108A

Récompenses !

Quel honneur de découvrir que nous occupons (cette année encore !)  les deux premières marches du podium de l’édition 2023 du TOP 20 du classement des meilleurs Masters, MS et MBA proposé par EDUNIVERSAL EEA dans la catégorie Master Management de l'Environnement et du Développement Durable.

La première place est attribuée à notre Mastère Spécialisé Expert en Environnement et Développement Durable parcours Ingénierie et Gestion de l'Environnement (EEDD parcours IGE) et la seconde, à notre Mastère Spécialisé International Environmental Management (EnvIM).

Bravo à toute l’équipe de l’ISIGE Mines Paris-PSL pour le travail accompli et un grand merci aux étudiants qui nous accordent leur confiance chaque année.

 

Cérémonie de remise des diplômes

Vendredi 1er mars s’est déroulé la cérémonie de remise des diplômes des 16 Mastères Spécialisés proposés par Mines Paris-PSL, promotions 2022-2023.

Les étudiants des trois Promotions de l’ISIGE Mines Paris-PSL, spécialisé en environnement et développement durable, ont reçu leur diplôme des mains de Vincent Lafleche, directeur général de l’École des Mines Paris-PSL, sous les chaleureux applaudissements de leurs pairs, familles et amis.

Nous adressons toutes nos félicitations aux étudiants de la Promo 32 du Mastère Spécialisé Expert en Environnement et Développement Durable parcours Ingénierie et Gestion de l’Environnement (IGE).

Félicitations également aux étudiants de la Promo 15 du Mastère Spécialisé Expert en Environnement et Développement Durable parcours exécutive Management Global de la RSE et du Développement Durable (RSEDD) – École des Mines Paris / Cegos France.

Et bravo aux étudiants de la Promo 16 du Mastère spécialisé International Environmental Management EnvIM option Asia / option World et option Europe.

Toute l’équipe de l’ISIGE Mines Paris-PSL vous souhaite beaucoup de succès pour la suite !