Séminaire bellifontain pour les RSEDD

Dans le cadre du premier module du MS® EEDD parcours management global de la RSE et du Développement Durable, qui présente les grands enjeux planétaires et la RSE, les étudiants de la Promo 16 RSEDD ont assisté à un séminaire à Fontainebleau qui s’est déroulé en trois temps.

1. Visite de l’entreprise adaptée ATF Gaia, acteur majeur de l’économie sociale, solidaire et circulaire depuis 25 ans spécialisée dans la gestion du cycle de vie des matériels informatiques et de téléphonie mobile professionnels, de leur déploiement jusqu’à leur réemploi en passant par leur maintien opérationnel.

2. Balade guidée menée par Claude Lagarde, guide forestier, sur le thème de la biodiversité dans la forêt de Fontainebleau classée Réserve Mondiale de Biosphère par l’UNESCO abritant une grande diversité de milieux avec plus de 5 685 espèces végétales et 6 000 espèces animales.

3. Visite de l’incinérateur de la galerie du Lombric de Vaux-le-Pénil qui permet d’aborder les différentes étapes de la gestion des déchets et de s’immerger dans les coulisses du recyclage et de la valorisation énergétique.

Un grand merci à tous les intervenants pour leur accueil, le temps accordé et la qualité de leurs présentations.

 

LE PROJET ECOMODAM

LE PROJET

2023-2027 EcoMoDam – Écologisation du Modèle économique des Aménageurs.

Responsable scientifique : Daniel Florentin
Partenaires : Agnès Bastin (Mines Paris PSL, ISIGE) Magali Castex (Co’mone), Olivier Coutard (Ecole Nationale des Ponts et Chaussées, LATTS), Guillaume Louvet (Mines Paris PSL, CSI), Germain Meulemans (CNRS, Centre Alexandre Koyré), Marion Perret-Blois (A&E) Jean Souviron (ENSA Belleville)
Axe 2 de l’ISIGE : Territoires, organisations et entreprises : écologisation des pratiques
Financeur : Agence Nationale pour la Recherche

Résumé

Le modèle économique des aménageurs français, acteurs essentiels de la production urbaine, repose majoritairement sur un mécanisme, celui de la revente de charges foncières. Ce modèle, qui s’appuie sur le fonctionnement des marchés fonciers et immobiliers et sur la valeur espérée de ce qui sera construit, est fortement déstabilisé par une série de pressions socio-écologiques, qu’il s’agisse des contraintes sur les ressources matérielles disponibles, ou sur l’artificialisation des sols et ses conséquences sur le vivant. L’action cumulée de ces pressions impose des transformations radicales, aussi bien dans les pratiques que dans les métriques utilisées par les aménageurs, pour les rendre compatibles avec les limites planétaires et les différents défis écologiques à toutes les échelles.

Objectifs et méthodes

Le projet EcoModAm se propose ainsi d’analyser les implications théoriques et opérationnelles d’une écologisation de son fonctionnement. Dans la poursuite du projet NMA, il a vocation à construire, en partenariat avec un certain nombre de sociétés d’aménagement (publiques ou mixtes), de nouveaux référentiels de l’aménagement, intégrant davantage les questions des matériaux (leur décompte, leur circulation, leur gouvernance) et du vivant.

Il s’appuie ainsi sur les recherches en écologie territoriale sur les questions de métabolisme et sur l’émergence de comptabilités écologiques alternatives pour analyser ce qui compte, comment on le compte et comment on le fait compter dans les opérations d’aménagement.

L’idée est ainsi de repenser la façon dont la valeur est appréhendée dans le modèle économique de l’aménageur, pour réencastrer la valeur économique et monétaire dans une pensée du vivant et de l’environnement.

Le projet, porté par une logique pluridisciplinaire, est déployé en étroite collaboration avec des aménageurs partenaires du projet, pour à la fois documenter les pratiques existantes d’écologisation de leurs pratiques, construire des référentiels communs et expérimenter sur des opérations pilotes ces nouvelles métriques.

Mots-clés : aménagement – écologisation – modèles économiques – comptabilités écologiques – métabolisme urbain – écologie territoriale – métriques

 

Certificat Économie circulaire : la boucle… est bouclée !

Au terme d’un parcours engagé au mois de mars dernier, les participants du Certificat « Économie circulaire » proposé par Mines Paris et Paris-Dauphine, en partenariat avec ecosystem, ont clôturé leur formation hier par leur soutenance.

Certificat Économie circulaire

L’ambition pour les 18 participants ? Transformer leur organisation par des approches et outils innovants.

Les soutenances et la diversité des profils illustrent la multiplicité des enjeux et leviers possibles pour la mise en œuvre d’une stratégie d’économie circulaire au sein de son organisation.

Les profils ? Responsable achats, responsable communication, dirigeant d’entreprise, expert en économie circulaire, responsable développement stratégique, directrice de projet transformation digitale / mobilité durable, etc.

Certificat Économie circulaire


Les entreprises ? Accor, Grupo Antofagasta Minerals, Axys Consultants, BLOC.TECH, bluenove, BUTAGAZ, CARLIN CREATIVE TREND BUREAU, ICPF Certification, ecosystem, LG Electronics, RTE Réseau de Transport d’Électricité, SNCF, Société Générale, SYSTRA, Veolia.

A travers trois modules, la formation aborde les bases de l’économie circulaire et les leviers pour la mise en place d’une véritable stratégie, et les projections pour aboutir à une réelle transformation de l’organisation.

La prochaine session du Certificat Économie circulaire sera proposée en mars 2024. Les candidatures (CV + lettre d’intention) seront ouvertes à compter du 1er septembre.

Bravo aux participants, tous engagés, dans le déploiement de leurs projets pour une économie plus circulaire, plus durable :  Axel Roy, Solène España, Stéphanie Andrieux Mauréta, Diana-Luz HOUDAYER-LABORDE, Aurélie Lett, Christianna Papazahariou, Nicolas Rohrer, Jérôme Vayssettes, Cyril Robin, Clément Lamotte, Lionel BIANCHI, Astrid Brunini, Martin Duval, Marion Bressy, Laure Morice, Géraldine Bouchot, Christophe Le Flech et François X B.

Merci à Laurent Amice Berranger, Jasha Oosterbaan, Franck AGGERI, Rémi BEULQUE Ph.D., FREDERIQUE DEJEAN, Joël Ntsondé, Damien Goetz .

Pour tout savoir sur le Certificat Économie circulaire : https://lnkd.in/gZ3JwiAP

Les élèves ingénieurs de l’École des Mines de Paris face aux enjeux écologiques

LE PROJET

(2022 – 2026) Les élèves ingénieurs de l’École des Mines de Paris face aux enjeux écologiques

Responsable scientifique : Cécile Schwartz  (ISIGE Mines Paris)
Partenaires : AFS​, CSI​, Réseau Ingenium​, Réseau Epsi
Axe 3 de l’ISIGE Mines Paris-PSL : Pédagogie des transitions
Financeur : Ressources propres​, Presses des Mines

RÉSUMÉ

Cécile Schwartz, ingénieure civile des Mines de Paris et coordinatrice pédagogique du MS EEDD parcours IGE au sein de l’ISIGE Mines Paris-PSL conduit une étude, centrée sur les choix et engagements des élèves et jeunes diplomé.es de Mines Paris face aux urgences environnementales.

A travers l’exemple de l’École des Mines de Paris, cette étude propose une analyse des processus individuels et collectifs conduisant les jeunes ingénieurs à s’engager de manière plus en plus importante dans des trajectoires professionnelles en lien avec les urgences environnementales, ainsi qu’une identification d’éléments facilitant ces processus au sein de l’École.

Tel est l’objet de l’étude présentée en comité pédagogique le 22 juin dernier au cours duquel Cécile Schwartz a présenté les premiers éléments d’une analyse qui s’inscrit dans un projet d’études plus large, centré sur les choix et engagements des élèves et jeunes diplomé.es de Mines Paris face aux urgences environnementales.

Objectifs et méthode

Cette première analyse repose sur les 400 réponses d’élèves et jeunes diplomé.es P12 à P22 au questionnaire administré en ligne du 14 novembre au 7 décembre 2022 dans le cadre de l’UE14. Elle s’appuie également sur le contenu du discours prononcé le 1er octobre 2022 à l’occasion de la cérémonie de remise des diplômes, ainsi que sur une quinzaine d’entretiens menés auprès de jeunes diplômés et élèves de l’École.

A travers l’exemple de l’École des Mines de Paris, cette étude propose une analyse des processus individuels et collectifs conduisant les jeunes ingénieurs à s’engager de manière plus en plus importante dans des trajectoires professionnelles en lien avec les urgences environnementales, ainsi qu’une identification d’éléments facilitant ces processus au sein de l’École.

Un cheminement personnel profond

Les jeunes ingénieurs sont de plus en plus nombreux à prendre position pour les causes environnementales. Ces engagements font suite à un cheminement personnel profond : la compréhension scientifique des dynamiques de destruction des équilibres biophysiques planétaires induit une modification de leur rapport au monde, et les conduit à s’affranchir des représentations du progrès technologique et de réussite personnelle dont ils héritent. Pour pouvoir agir avec efficacité en conformité avec leurs engagements, les jeunes ingénieurs doivent composer avec ces nouvelles terrifiantes, selon les mots de Bruno Latour, et affronter leur sphère personnelle et la complexité du système économique et ses résistances.

A partir d’entretiens réalisés entre les prises de paroles d’octobre 2022 et octobre 2023 faites à l’occasion des cérémonies de remise des diplômes, cette étude se propose de montrer ce cheminement individuel mais aussi collectif dans le cas des jeunes ingénieurs de l’École des Mines de Paris. Elle décrit les processus de métabolisation individuelle et collective de leurs émotions, et de mobilisation dans le champ professionnel de la transition écologique. Elle montre également comment l’ancrage de l’École dans le monde industriel, son lien à la matière ainsi que la proximité des élèves entre eux mais aussi avec le corps enseignant et les chercheurs, facilitent ces processus, avec, en l’espace d’une année, une quasi dé-marginalisation de ce type d’engagement.

L’étude se propose d’explorer plusieurs thèmes d’études

Face aux « nouvelles terrifiantes » (selon le mot de Bruno Latour) des urgences environnementales et de leurs impacts destructeurs pour la planète, les jeunes diplômés de grandes écoles multiplient les appels à des changements profonds de société. Avec pour terrain l’École des Mines de Paris, cette étude éclaire les processus individuels et collectifs de prise de conscience de ces enjeux et de mobilisation vers l’action. Comment ces jeunes ingénieurs composent-ils avec leurs émotions? Comment se préparent-ils à agir et à affronter, de l’intérieur ou de l’extérieur, la complexité et l’inertie du système économique ? Quels sont les éléments de l’écosystème académique qui peuvent faciliter ces processus de compréhension et de mobilisation ?

  • Les processus d’appropriation individuels et collectifs par cette génération des enjeux et des émotions liés aux urgences environnementales.
  • L’évolution des choix professionnels des jeunes ingénieurs en fonction de ces enjeux, leur vision de la responsabilité et du rôle des ingénieurs dans les réponses à apporter à ces défis.
  • Les spécificités liées à l’histoire et à la pédagogie de l’École des Mines dans ces processus de prise de conscience et d’engagement individuel et collectif.

Les premières pistes

Si les répondants expriment en grande majorité tristesse face aux enjeux environnementaux, dans une moindre mesure anxiété, peur ou encore colère, ils sont une large majorité à faire part de leur motivation à agir. Plus de la moitié des répondants indiquent avoir ressenti un sentiment de dissonance entre leurs convictions personnelles et ce qui est attendu dans le métier d’ingénieur. La prise de conscience de la complexité systémique de ces enjeux renforce chez les élèves ingénieurs la réflexivité sur la responsabilité et le rôle de l’ingénieur, ainsi que les questionnements sur les choix de trajectoires professionnelles.

Les jeunes ingénieurs interrogés déclarent préférer utiliser leurs compétences pour agir sur le monde industriel et économique de l’intérieur, de manière structurelle et rapide. Parmi les jeunes diplomé.es, nombreux ont le sentiment d’avoir déjà choisi une voie professionnelle en cohérence avec les enjeux de décarbonation. De manière très majoritaire, les répondants estiment que l’École des Mines les préparent à apporter des éléments de réponse à ces enjeux dans un cadre professionnel.

Conscients de la chance qu’ils ont de recevoir l’enseignement proposé par l’École des Mines, plusieurs expriment avoir la responsabilité de contribuer à changer l’industrie de l’intérieur, plutôt que d’opter pour des trajectoires professionnelles plus radicales, à « l’extérieur », tout en refusant d’intégrer les grandes entreprises liées aux énergies fossiles.

En ce sens, le discours du 1er octobre 2022, qui a réuni 20 jeunes diplomé.es sur scène, non seulement visait à sensibiliser leurs proches à ces enjeux, mais il a permis également de démarginaliser des émotions et des engagements qui pouvaient être vécus il y a encore peu comme porteurs de déclassement. Les trajectoires professionnelles engagées au service de la décarbonation du système économique, et particulièrement de l’industrie, semblent en passe dans les promotions en cours, de devenir des trajectoires classiques.

COMMUNICATION

  • Ingénieries & Anthropocène ? Nouveaux enjeux, nouveaux parcours en sciences humaines et sociales. Colloque International organisé le jeudi 12 décembre 2024  au CNAM, Paris, par le Réseau Ingenium, en collaboration avec EPSI et l’OFC.
    Atelier 7 : compétences en anthropocène : face aux urgences environnementales, le processus de transformation par métabolisation des émotions et mobilisation inter-acteurs d’un écosystème académique – Cas de l’École des Mines de Paris.

Publication

Quels impacts des questions environnementales sur les trajectoires des jeunes ingénieurs civils Mines Paris ?

Tel est l’objet de l’étude présentée en comité pédagogique le 22 juin dernier par Cécile Schwartz, ingénieure civile des Mines de Paris et coordinatrice pédagogique du MS IGE au sein de l’ISIGE Mines Paris-PSL. Lors de ce comité pédagogique, Cécile Schwartz a présenté les premiers éléments d’une analyse qui s’inscrit dans un projet d’études plus large, centré sur les choix et engagements des élèves et jeunes diplomé.es de Mines Paris face aux urgences environnementales.

Cette première analyse repose sur les 400 réponses d’élèves et jeunes diplomé.es P12 à P22 au questionnaire administré en ligne du 14 novembre au 7 décembre 2022 dans le cadre de l’UE14. Elle s’appuie également sur le contenu du discours prononcé le 1er octobre 2022 à l’occasion de la cérémonie de remise des diplômes, ainsi que sur une quinzaine d’entretiens menés auprès de jeunes diplômés et élèves de l’École.

L’étude se propose d’explorer plusieurs thèmes d’études :

  • Les processus d’appropriation individuels et collectifs par cette génération des enjeux et des émotions liés aux urgences environnementales.
  • L’évolution des choix professionnels des jeunes ingénieurs en fonction de ces enjeux, leur vision de la responsabilité et du rôle des ingénieurs dans les réponses à apporter à ces défis.
  • Les spécificités liées à l’histoire et à la pédagogie de l’École des Mines dans ces processus de prise de conscience et d’engagement individuel et collectif.

Les premières pistes

Si les répondants expriment en grande majorité tristesse face aux enjeux environnementaux, dans une moindre mesure d’anxiété, peur ou encore colère, ils sont une large majorité à faire part de leur motivation à agir. Plus de la moitié des répondants indiquent avoir ressenti un sentiment de dissonance entre leurs convictions personnelles et ce qui est attendu dans le métier d’ingénieur.

La prise de conscience de la complexité systémique de ces enjeux renforce chez les élèves ingénieurs la réflexivité sur la responsabilité et le rôle de l’ingénieur, ainsi que les questionnements sur les choix de trajectoires professionnelles.

Les jeunes ingénieurs interrogés déclarent préférer utiliser leurs compétences pour agir sur le monde industriel et économique de l’intérieur, de manière structurelle et rapide. Parmi les jeunes diplomé.es, nombreux ont le sentiment d’avoir déjà choisi une voie professionnelle en cohérence avec les enjeux de décarbonation. De manière très majoritaire, les répondants estiment que l’École des Mines les préparent à apporter des éléments de réponse à ces enjeux dans un cadre professionnel.

Conscients de la chance qu’ils ont de recevoir l’enseignement proposé par l’École des Mines, plusieurs expriment avoir la responsabilité de contribuer à changer l’industrie de l’intérieur, plutôt que d’opter pour des trajectoires professionnelles plus radicales, à « l’extérieur », tout en refusant d’intégrer les grandes entreprises liées aux énergies fossiles.

En ce sens, le discours du 1er octobre 2022, qui a réuni 20 jeunes diplomé.es sur scène, non seulement visait à sensibiliser leurs proches à ces enjeux, mais il a permis également de démarginaliser des émotions et des engagements qui pouvaient être vécus il y a encore peu comme porteurs de déclassement. Les trajectoires professionnelles engagées au service de la décarbonation du système économique, et particulièrement de l’industrie, semblent en passe dans les promotions en cours, de devenir des trajectoires classiques.

C’est la rentrée pour la Promo 16 du MS RSEDD.

C’est la rentrée pour la Promo 16 du MS RSEDD.

Dix-huit mois : c’est la période pendant laquelle nos étudiants du Mastère exécutive vont alterner entre enseignements et réalisation d’une mission professionnelle dans leur entreprise (ou une entreprise partenaire) permettant d’avancer sur la prise en compte des enjeux de transition et de RSE.

Le but ? Approfondir, transposer les concepts enseignés et engager résolument l’entreprise dans sa démarche RSE et sa transformation.

C'est la rentrée pour la Promo 16 du MS RSEDD
C’est la rentrée pour la Promo 16 du MS RSEDD

Le saviez-vous ?
Conçu pour permettre aux cadres en poste souhaitant structurer et élargir leurs compétences en matière de RSE et de développement durable et accompagner le monde économique dans sa transition écologique et responsable, le Mastère Spécialisé® Management Global de la RSE DD s’adresse :

– à la fois aux profils industriels et professionnels du conseil ou encore du monde public.

– aux managers ayant une solide expertise professionnelle (achats, RH, R&D, HSE, innovation…) et souhaitant élargir leur domaine d’action à la RSE et transition écologique et solidaire.


Bref, à toute personne faisant le choix d’intégrer le développement durable et la RSE dans ses missions.

La finalité du MS est de :
– dynamiser la carrière des étudiants avec un diplôme de haut niveau accrédité par la Conférence des grandes écoles (CGE).

– devenir un acteur clé de la RSE et de la transition au sein de son entreprise et intégrer le réseau des anciens, à la fois de l’ISIGE Mines Paris-PSL et de Mines Paris – PSL.

Toute l’équipe de l’ISIGE Mines Paris-PSL souhaite la bienvenue aux étudiants de la Promo 16 du MS RSEDD.

Mots-clés

Shifting to Product Service System in the sport sector ?

Shifting to Product Service System in the sport sector ?

EnviM students were offered the opportunity to study two lines of products of Decathlon France, in the objective of renting instead of selling toward product service system with the challenge of having less products manufactured, and less impacts on the environment.

Shifting to Product Service System in the sport sector ?
Shifting to Product Service System in the sport sector ?

During the project students practiced on these two real cases, discussing with the experts of this company :

– How improving the lifespan of products, reducing the impact on the environment.

– What products suit these new models, what organization does this suppose for the company and what are the limits today ?

Beginning of May they present their findings and gave recommendations, adressing the advantages and limits for climbing Crashpad and Horse riding safety jackets.

A time for debate and conclude with Simond and Fouganza Decathlon teams, rich for both sides.

Thanks to Lucile Cazaux project manager at Decathlon France, Corentin Cuvelier, Giorgio Leonardi, Eponine Bottineau on the Fouganza Decathlon side, Jean-Charles Laugt, Alice de La Fabergue for Simond.

Thanks Rémi Beulque Ph.D for having co-designed and managed this project for the EnvIM students.

The city of Ris-Orangis’ deep and effective commitment for ecological transition.

The city of Ris-Orangis’ deep and effective commitment for ecological transition.

On 4 May 4th, students of the EnvIM World post-Master, discovered the projects developed for the ecological transition of Ris-Orangis with Gil Melin, Deputy Mayor in charge of the Eco-Polis and participative democracy, President of the familly gardens of l’Orme Pomponne.

The city of Ris-Orangis' deep and effective commitment for ecological transition.
The city of Ris-Orangis’ deep and effective commitment for ecological transition.

After a general presentation of the city, its projects and an overview of the city’s Climate – Air – Energy policy, drawn up by Gil Melin, the students were offered a tour of the city.

The city of Ris-Orangis' deep and effective commitment for ecological transition.
The city of Ris-Orangis’ deep and effective commitment for ecological transition.


Wandering in the city with Mr Melin and Axel OMS, helped them to comprehend the issues at stake regarding the policy implementation ont the field, the organization, financial aspects and coordination of the many projects with the citizens and involved stakeholders :

– The Family Gardens of the Orme Pomponne, an area of 6 Ha
– The Ecoquartier des Docks de Ris, one of the starting projects for the ecological awareness of the city of Ris-Orangis
– The “Berges de Seine”, the project of a marina, river shuttle and swimming area
– The third place “L’Attribut”, role for social networks, at the very core of the city
– The deep geothermal boreholes, plant, which supply the city’s urban heating network
– Urban agriculture, the challenges of soil preservation

The city of Ris-Orangis' deep and effective commitment for ecological transition.
The city of Ris-Orangis’ deep and effective commitment for ecological transition.

The students discovered all the actions carried out in favour of biodiversity, wastelands and re-naturalisation of soils, and the studies and actions towards Zero Net Artificialization, within the framework of the Climate and Resilience Act of 2021.

Thank you to Gil Melin for his presentation and his investment and thanks to Axel OMS for having organized this day with us.

Pôle Recherche de l’ISIGE Mines Paris-PSL : nouvelle recrue !

Le pôle Recherche de l’ISIGE Mines Paris-PSL a le plaisir d’accueillir une nouvelle recrue au sein de son équipe.

Julie Perrin, post-doc, rejoint le projet PREBAT mis en place par Daniel Florentin et Robin Girard, un projet porté conjointement par l’ISIGE Mines Paris-PSL (Institut Supérieur de Gestion de l’Environnement) et PERSEE (Procédés, Énergies Renouvelables et Systèmes Énergétiques), dans le cadre de l’Institut pour The Transition Institute 1.5 (TTI.5).

Géographe et urbaniste, Julie Perrin a déjà travaillé sur plusieurs projets en lien avec des questions d’infrastructures dans un laboratoire de Marne-la-Vallée.

Dans le cadre du projet PREBAT, Julie, Daniel et Robin vont travailler sur les politiques de rénovation thermique des bâtiments.

L’idée est de regarder les dispositifs qui existent pour financer cette politique, et essayer de comprendre pourquoi elle ne se développe pas au rythme souhaité/souhaitable, en prêtant attention à la fois aux dispositifs nationaux et aux différents systèmes de subventionnement, et en allant regarder dans sur le terrain comment tout cela prend – plus ou moins bien – forme (avec des territoires, comme à Rouen, qui ont développé des stratégies particulières).

Notre équipe de géographes-urbanistes s’agrandit, autour d’un sujet passionnant.
Bienvenue Julie !

Atelier urbain, la Promo EnvIM à Bruxelles

Comment transformer trois quartiers bruxellois à horizon 2030 et 2050 tout en conservant leur habitabilité et en respectant les contraintes environnementales ?

Afin de répondre à cette question, les étudiants de la promo EnvIM ont été accueillis pendant une semaine dans une ancienne école vétérinaire soigneusement réhabilitée située à Anderlecht, THE FACULTY Brussels.

En effet, c’est depuis ces locaux à la fois fonctionnels et confortables, parfaitement adaptés pour les travaux collectifs, que la promo EnvIM a travaillé avec la Région bruxelloise, et plus particulièrement avec perspective.brussels, le bureau chargé de la planification pour la région capitale qui propose des analyses et des stratégies transversales pour préparer le futur de ce territoire situé au cœur de l’Europe.

Comment transformer trois quartiers bruxellois à horizon 2030 et 2050 tout en conservant leur habitabilité et en respectant les contraintes environnementales ?
Comment transformer trois quartiers bruxellois à horizon 2030 et 2050 tout en conservant leur habitabilité et en respectant les contraintes environnementales ?

 

Le travail de la promotion EnvIM est venu contribuer à la thématique de l’année définie par perspective.brussels, celle des Quartiers, conçus comme des zones locales pour des interventions urbaines fines. Dans cet esprit, les étudiants ont passé une semaine à travailler sur la transformation de 3 quartiers à horizon 2030 et 2050, pour les rendre compatibles avec les contraintes environnementales et en maintenir l’habitabilité.

Les trois quartiers choisis, autour de l’institut Bordet, de la gare du Midi et des Abattoirs sont marqués par de forts enjeux de justice environnementale et sociale, auxquels les étudiants ont cherché à apporter des réponses pertinentes, opérationnalisables et respectueuses des populations souvent précaires habitant ces quartiers.

A travers un travail de diagnostic, l’élaboration d’une stratégie urbaine et sa déclinaison en plan d’actions, la promotion EnvIM a proposé des trajectoires de transformation écologique urbaine qui, nous l’espérons, nourriront les futurs de perspective.brussels et des habitants concernés.

Un grand merci à Philippe Declercq, Lulia Pankratieva et les membres du CRDT qui ont accompagné cet atelier.